La Femme des steppes, le flic et l'oeuf

La Femme des steppes, le flic et l'oeuf (Öndög)

de Quanan Wang

Genre : Comédie

Nationalité : Mongolie

Année de sortie : 2020

Durée : 01h40

Version : Couleur

Public : Tout public

Une femme nue est retrouvée assassinée, un jeune policier doit monter la garde seul face aux immensités de la steppe mongole. Pour lui tenir compagnie et le protéger des loups, une bergère est réquisitionnée. Conte étrange où se mêlent les loups, la survivance des dinosaures et le quotidien des éleveurs.
Le nouveau film de Wang Quan’an (Le Mariage de Tuya, La Tisseuse…) nous hypnotise par ses magnifiques plans et ses vastes panoramiques sur la steppe.

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 25 Mars 2020 au Mardi 31 Mars 2020
  • Semaine du Mercredi 19 Août 2020 au Mardi 25 Août 2020
  • Semaine du Mercredi 26 Août 2020 au Mardi 1 Septembre 2020
  • Semaine du Mercredi 9 Septembre 2020 au Mardi 15 Septembre 2020

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    Où, sous un ciel immense, on parcourt tantôt à cheval tantôt à dos de chameau, mais aussi à moto ou en fourgon de police (mais sans précipitation), les paysages grandioses et quasi infinis de Mongolie (parfois ponctués de constructions inattendues, comme cet abri perdu au milieu de la steppe). C’est là que se rejoue, non sans humour, entre couchers de soleil somptueux et lampes frontales, l’éternelle histoire de l’humanité, ici dominée par une figure féminine splendide et toute puissante. La bande musicale qui va des chants primitifs au Rock n’Roll en passant par l’accordéon de la période soviétique est là pour soutenir opportunément l’étendue de la dimension temporelle de ce conte de portée universelle bien que solidement ancré dans son espace singulier.

    Commentaire de Jacques Chenu |

    Bel exemple d’oxymore, on pourrait dire de ce film que c’est un thriller contemplatif, mais la découverte du cadavre dans les steppes au début du film n’est pas vraiment au centre de l’histoire. Elle est plutôt prétexte à l’observation, et petit à petit, le film prend une dimension documentaire. D’ailleurs, la bergère n’est pas une actrice mais une vraie bergère, quant au scénario, il est minimaliste, il ne se passe pas grand-chose.
    Finalement, ce qui compte ici, c’est la beauté des paysages et l’observation du mode de vie des mongols. Pour apprécier le film, il faut en accepter la lenteur et la dimension poétique.

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