Ernest Cole, photographe

Ernest Cole, photographe

de Raoul Peck

Genre : Documentaire

Nationalité : États-Unis

Année de sortie : 2024

Durée : 01h46

Version : Couleur

Public : Tout public

Ernest Cole (1940/1990), photographe sud-africain, a été le premier à montrer les horreurs de l’apartheid à travers son livre House of bondage, publié en 1967. Contraint de s’exiler à New York et en Europe pour le reste de sa vie, il ne s’en remettra jamais et mourra malade, sans abri et oublié, à seulement 49 ans...
C’est son histoire que raconte Raoul Peck (I Am Not Your Negro, sur James Baldwin) dans ce très beau film qui remet en lumière une œuvre essentielle et d’une force stupéfiante. Il raconte aussi comment, en 2017, 60 000 négatifs inconnus de son travail sont découverts dans le coffre d’une banque suédoise...

Œil d’or 2024 du dernier festival de Cannes.

JF

À l’occasion de la sortie nationale du dernier film Ernest Cole, Photographe de Raoul Peck, les Cinémas Studio vous proposent de prolonger la découverte de ce photographe sud-africain oublié à travers une sélection de 20 photographies. Du 25 décembre 2024 au 14 janvier 2025 dans le hall des Studio.

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 25 Décembre 2024 au Mardi 31 Décembre 2024
  • Semaine du Mercredi 1 Janvier 2025 au Mardi 7 Janvier 2025
  • Semaine du Mercredi 8 Janvier 2025 au Mardi 14 Janvier 2025

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    J’avoue que, bien qu’assez informé en matière de photographie, je ne connaissais ni Ernest Cole, ni ses photos pourtant si puissantes. (Je ne connaissais pas Vivian Mayer non plus avant la sortie du film « A la recherche de Vivian Mayer »). Merci donc à Raoul Peck de m’avoir fait découvrir ce photographe et son œuvre (bien que certaines zones d’ombre semblent avoir été préservées). Merci aussi de nous avoir rappelé ce qu’était la réalité abjecte de l’apartheid en Afrique du Sud (bien soutenu par l’hypocrisie de nos dirigeants). Merci également de nous avoir fait ressentir la souffrance de l’exilé condamné à un malentendu perpétuel avec son pays d’accueil.

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