Djam
de Tony Gatlif
Genre : Drame
Nationalité : France
Année de sortie : 2017
Durée : 01h37
Version : Couleur
Public : Tout public
La jeune et rebelle Djam est envoyée à Istanbul par son oncle Kakourgos pour y récupérer une pièce rare du moteur de leur bateau de tourisme. C’est leur seul moyen de revenus, et la mission est de taille. Sur le chemin, Djam prend Avril sous son aile, une française de 19 ans, seule et sans argent, venue aider les réfugiés syriens qui traversent la Turquie pour se rendre en Grèce. De rencontre en rencontre et au rythme du Rébétiko, les deux jeunes femmes marchent dans leurs pas, tandis que Kakourgos attend le retour de Djam.
Le Rébétiko est une musique grecque qui raconte l’exil, la mélancolie et la liberté, des thèmes chers au réalisateur (Latcho Drom, Gadjo Dilo), qui nous entraîne dans un voyage plein de rebondissements !
Bande annonce
Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne
Ce film a été programmé aux cinémas Studio
- Semaine du Mercredi 9 Août 2017 au Mardi 15 Août 2017
- Semaine du Mercredi 16 Août 2017 au Mardi 22 Août 2017
- Semaine du Mercredi 23 Août 2017 au Mardi 29 Août 2017
- Semaine du Mercredi 14 Juillet 2021 au Mardi 20 Juillet 2021
Définition des pictos :
- Séance 3D
- Ciné Relax
- Version française
- V.O + Sous-titrage (FR)
- Sans Paroles
- Audio description
Votre avis
Commentaire de Hervé RIGAULT |
Avec Djam, le propos de Tony Gatlif est de célébrer le chant et la danse comme ressources communes aux exilés de toutes origines condamnés à errer sans fin sur la planète. La Grèce d’aujourd’hui est toute désignée pour servir de décor au film puisque en même temps qu’arrivent sur son sol des milliers de réfugiés en provenance d’Europe Orientales, d’Afrique ou du Moyen Orient, elle voit sa jeunesse la quitter, chassée par la crise et les financiers.
Cela nous vaut de très belles et chaleureuses séquences musicales dans des cafés de Grèce et de Turquie. Cela nous vaut aussi, un superbe plan, où un future exilé, inerte avec la gueule de bois, le regard vide, repose sa tête contre la vitre d’un bistrot où la fête se poursuit.
On a, par contre du mal, à suivre le parcours et les chamailleries des deux gamines qui jouent à saute frontières d’un pays à l’autre. D’autant plus que si Daphne Patatkia se révèle être une excellente chanteuse et une bonne danseuse, elle perd de sa force sauvageonne à chaque fois qu’elle doit faire vivre les dialogues que lui prête Tony Gatlif.
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