Vita et Virginia

Vita et Virginia

de Chanya Button

Avec
Gemma Arterton
Elizabeth Debicki
Isabella Rossellini
Rupert Penry-Jones
Peter Ferdinando

Genre :

Nationalité : Grande-Bretagne

Année de sortie : 2019

Durée : 01h50

Version : Couleur

Public : Tout public

Lorsque Virginia Woolf, femme de lettres révolutionnaire, et Vita Sackville-West, excentrique aristocrate mondaine, se rencontrent en 1922, naît une relation passionnelle faisant fi des conventions sociales et de leurs mariages respectifs. La fascination ressentie par Virginia ressentie à l’égard de Vita inspirera Orlando, une de ses œuvres maîtresses, bouleversante réflexion sur le genre et l’art.  

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 10 Juillet 2019 au Mardi 16 Juillet 2019
  • Semaine du Mercredi 17 Juillet 2019 au Mardi 23 Juillet 2019
  • Semaine du Mercredi 24 Juillet 2019 au Mardi 30 Juillet 2019

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Jacques Chenu |

    Pour reprendre une expression de jeune, Vita et Virginia, c’est trop… Trop lisse, trop léché, trop beau, en particulier avec le casting. Le choix de Gemma Arterton, ravissante minaudière, pour incarner Vita ne passe pas, on n’y croit pas une seconde. Mary Ann Caws, dans sa biographie de Virginia Woolf, présente Vita comme une femme rougeaude, moustachue et peu attirante (photos à l’appui). Pour moi, il y a donc erreur de casting, on a trop cherché à plaire, au détriment du réalisme. Les décors sont magnifiques, manoirs, rues, paysages, tout est beau, des autos ripolinées et rutilantes aux vêtements des personnages. La bande son aussi est « trop », trop soft avec le bruit feutré des moteurs et la musique sirupeuse qui accompagne certaines scènes.
    On peut aussi voir ce film comme un agréable divertissement, à condition de ne rien savoir sur Virginia Woolf et Vita Sackville-West. Elisabeth Debicki est certes plus convaincante en Virginia que Gemma en Vita, mais elle n’atteint pas le niveau de performance de Nicole Kidman dans l’excellent « The Hours » de Stephen Daldry. Il reste heureusement les dialogues et la lecture de quelques écrits de Virginia pour nous emporter un temps dans l’extraordinaire relation entre ces deux personnages d’exception.

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