The Dead Don't Die
de Jim Jarmusch
Genre : Comédie
Nationalité : U.S.A
Année de sortie : 2019
Durée : 01h43
Version : Couleur
Public : Tout public
Dans la petite ville de Centerville quelque chose cloche. Personne ne sait vraiment quoi. Des nouvelles effrayantes circulent. L’inquiétude des scientifiques est à son comble. Un événement étrange et dangereux s’abat sur la ville : les morts sortent de leurs tombes et attaquent les vivants !
La bataille pour la survie commence pour les habitants de Centerville…
Après s’être essayé aux vampires dans Only Lovers Left Alive, le réalisateur toujours plus surprenant signe une histoire particulièrement hilarante et décalée dans laquelle les zombies cohabitent avec les vivants. Il retrouve des comédiens coutumiers de son travail : Bill Muray et Chloé Sévigny (Broken Flowers), Tilda Swinton (Only Lovers) ou
Adam Driver (Paterson).
The Dead Don’t Die ouvrira le festival de Cannes 2019, le 14 mai, en avant-première mondiale et sera aux Studio ce même jour !
Bande annonce
Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne
Ce film a été programmé aux cinémas Studio
- Semaine du Mercredi 8 Mai 2019 au Mardi 14 Mai 2019
- Semaine du Mercredi 15 Mai 2019 au Mardi 21 Mai 2019
- Semaine du Mercredi 22 Mai 2019 au Mardi 28 Mai 2019
- Semaine du Mercredi 29 Mai 2019 au Mardi 4 Juin 2019
- Semaine du Mercredi 5 Juin 2019 au Mardi 11 Juin 2019
Définition des pictos :
- Séance 3D
- Ciné Relax
- Version française
- V.O + Sous-titrage (FR)
- Sans Paroles
- Audio description
Votre avis
Commentaire de Hervé RIGAULT |
Vous avez raté le dernier train pour Busan ? Pas grave. Cliff Robertson, Ronnie Peterson, Minerva Morisson, Hank Thompson et Zelda Winston (au nom pas très net) vous attendent à Centerville sur un fond de musique country signée Sturgill Simp… son. Pour autant, rien à voir avec Patterson. Ici, on ne fait pas dans la poésie, quoi que … .
Centerville, 738 âmes, son armurerie, ses Pompes funèbres, son centre de détention pour mineurs bien sages, son motel ... c’est un village tranquille, un peu comme le Monrovia (Indiana) de Wiseman. Mais c’est encore plus central, forcément.
Bien sûr, « ça va mal finir » tant pour les autochtones que pour les hipsters venus de Cleveland (Ohio). Fallait pas abuser de la fragmentation hydraulique. Mais on prend ça du bon côté. Rien à voir avec la politique comme le dit JJ lui même (qui pour autant ne respecte même pas son script). C’est d’ailleurs pour ça que le chien de l’irascible Miller (?!) s’appelle Rumsfeld. Mais lui court encore.
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