Un océan de douleur dont les gouttes submergent peu à peu le spectateur. Le secret se dévoile, à la manière d'un tableau intimiste... chaque trait du portrait de la mère est décliné par petites touches. Un témoignage touchant et juste, qui s'admire et se comprend comme une oeuvre. Libre à chacun de trouver la patience de le faire !
Commentaire de D.M.D. |
Tout me semble parfait dans ce film: les interprètes, les paysages, la musique, l'ambiance générale. Un régal.
Commentaire de yo |
Je ne pensais pas que j'adorerai ce genre de film. (J'y suis allé un peu à reculons à cause des rumeurs et de la presse négative) Mais le film c'est QUE DU BONHEUR !!! Et la réalisation est extraordinaire !
C'est GENIAL ! J'adOOOOOORRRE !
Dieu existe et il s'appelle Tarantino.
Commentaire de MV |
Violent, (tres) violent, mais du vrai cinema et un vrai realisateur. Film tres dense.Je vais le revoir car je n'ai pas tout vu....Vivement le volume 2
Commentaire de Matthieu S |
Je pense que ce film est compréhensible si l'on connait au départ la vie de Rembrant. Je pensé que le film traiterai plus de la peinture en elle même. Moi je n'ai pas accroché mais après tout ce n'est que mon avis, nous étions les deux seul à avoir moin de 40ans, dans la salle peut être que ça y joue.
Commentaire de M HR |
A propos de Rembrandt et de ses commanditaires, les notables arrogants et hypocrites de la bourgeoisie d'Amsterdam qu'il ne pouvait pas voir en peinture.
A propos de Rembrandt et des ses femmes qui ne voulaient pas se voir en peinture.
Propos captivants d'un peintre cinéaste sur ce qui est montré mais ne se voit pas dans une peinture qui se débat dans les contraintes et les pièges du jeu social et économique dont il ne peut s'extraire.
Commentaire de Laure. |
Un bon divertissement, sans prétention, avec des acteurs convaincants. Ce n'est sans doute pas le meilleur film de Chahine, mais il faut se laisser emporter par l'histoire et ses personnages attachants ! Des moments plein d'humour, en plus, une musique très entraînante ! Il mérite d'être vu.
Commentaire de Thierry T. |
Un film comme je souhaiterais en voir plus souvent. Une très belle histoire, des paysages époustouflants, des acteurs/enfants magnifiques, une belle mise en scène, et le plus triste : une histoire vraie… Belle prestation de Kenneth Branagh qui accepte de jouer un rôle excessivement sordide.
Quelle tristesse, et quelle actualité, ces gens qui s’arrogent le pouvoir de décider pour les autres ce qui est bon pour eux. L’homme est un loup pour l’homme, disait je ne sais plus quel latiniste. En voici une magnifique illustration. Mais, quand donc l’homme va-t-il s’occuper de son postérieur, et de rien d’autre ? Que ce soit au nom d’un quelconque « dieu », d’un quelconque « allah », d’un quelconque « bien », ou de certains intérêts maquillés à une quelconque sauce insipide… rien ne peut justifier ce genre d’immiscions.
Alors allez voir ce film, au nom de votre culture ! Et ayez une pensée émue pour ces 30.000 enfants à qui "on" a volé un droit élémentaire, celui de vivre…
Commentaire de riquet marie-rose |
Je ne viens pas donner mon avis (ce film que je viens de voir à la séance de 14h30min aujourd'hui samedi est poignant très bien réalisé avec le mélange témoignage et BD)mais pourquoi le court métrage annoncé ne fut-il pas projeté?
Salutations
Commentaire de |
Dommage qu'avec un titre aussi unilatéral, mes doutes aient été confirmés... Le débat n'a pas réellement pu avoir lieu.
Commentaire de Lou G |
Je l'ai en livre mais jamais je n'ai vu le film !
Commentaire de Thierry |
On revient avec ce film aux fondamentaux du cinéma, plus moderne que jamais : travelling depuis la porte d'un train puis plan sur l'intérieur de la voiture, personnages assis par terre ; engrenages à plein l'écran ; voix de Charles Chaplin. Saisissant.
On ne demande pas plus que cela aux réalisateurs : nous montrer et nous faire entendre ce que l'on voit à hauteur de caméra. Une spectatrice disait en sortant "C'est particulier..." Au contraire, je trouve ce film universel.
Commentaire de CP |
Ce second volet d'Axel Corti nous livre la vie, les rêves, les sentiments des émigrés juifs à New-York. Les personnages sont superbes. Ils préfèrent se mentir à eux-même, et aux autres, pour rester digne malgré leur misère et leur grande détresse.
Commentaire de |
Ce que l'on pouvait pressentir à la vision de Dieu ne croit plus en nous se confirme ici: très grande maîtrise du récit et talent imparable pour mélanger histoire individuelle et histoire collective.
Nous ne sommes pas près d'oublier cette étrange histoire d'amour qui unit Freddy et la troublante (et troublée) Lissa.
Sinéphile
Commentaire de Monsieur HR |
Les personnages, ou plutôt ce qu?il en reste après leur fuite d?une Europe balayée par le nazisme, apparaissent dévorés par une angoisse dont ils ne peuvent se défaire et écrasés par une ville qui les méprisent autant qu?ils la méprisent au-delà de leurs mensonges.
Le noir et blanc, le format carré, les gros plans serrés, les flous dans lesquels ils évoluent contribuent magnifiquement, tout autant que le récit à produire ce sentiment d?oppression.
L?un des plus beaux films vus aux Studio depuis longtemps.
Commentaire de monsieur HR |
J'avais oublié d'évoquer les dialogues souvent éblouissants. Par exemple, le vieux Treumann, persécuté par les nazis mais amoureux de la langue allemande, déclarant : « ils ne nous pardonneront jamais ce qu?ils nous ont fait ».
Commentaire de Geb |
Tout simplement magnifique, douloureusement magnifique dans des décors si authentiques qu'on croirait vraiment que cette trilogie a été tournée dés la fin de la guerre. La musique, rare et unique pièce jouée du piano ajoute ponctuellement une intensité aux images et aux dialogues. La langue allemande, ses accents et ses dialogues ici sont forts. Ces allemands, autrichiens juifs ou pas communient dans une langue qui les rapproche, les soutient. Le chaos de l'époque est maîtrisé dans cette trilogie de façon si authentique qu'on ne peut qu'applaudir et ovationner la maestria du réalisateur et metteur en scène. Oui, cette série de films font partie des plus touchants jamais vus jusqu'ici.
Commentaire de Monsieur HR |
Il est louable d?attirer l?attention sur ces salariés précaires dont les interventions sont indispensables auprès d?autres personnes précaires. Le film ne parvient pourtant pas à éviter une forme de complaisance que provoque le fait d?être mis en face d?une caméra (on cherche à se faire plus beau ?). Il est également trop silencieux sur le niveau de salaire pratiqué dans ce secteur.
Commentaire de BRIAND |
le cinema , par essence , saisit l'homme dans le monde .
c'est un art total dans la mesure où il replace l'etre humain dans ses coordonnées spatiales et temporelles .
la réalisation meme d'un découpage et d'un montage cinématographiques permettent de rendre visibles les etres et les choses par la multiplicité de saisie du réel .
nous sommes donc en présence du quotidien des omanais et aussi dans le surréel car la perception filmique est la transfiguration de la perception ordinaire .
le cadrage , la diversité des plans , la qualité de lumière , les mouvements de camera , le montage donnent aux etres et aux objets une intensité particulière .
les gros plans des visages leur redonnent toute leur noblesse , leur tragique , ils deviennent les miroirs de l'ame humaine .
ces visages de nos frères , nous ne les voyons plus de nos jours car nous les traitons comme des choses matérielles et commerciales.
Commentaire de Monsieur HR |
« Tabou », un pur diamant en noir et blanc, c'est un peu « In the mood for love » en Portugais : dans l'Afrique coloniale, un amour fou et impossible qui ne se laisse découvrir que dans la dernière partie d'un film superbement filmé et construit.
Commentaire de CP |
Remarquable!
Ce film est parfaitement maîtrisé d'un bout à l'autre du scénario.
Déjà la trilogie d' Axel Corti m'avait bouleversé, (sujet très différent), donc est-ce la magie du noir et blanc??
Commentaire de |
Attention chef d'oeuvre! Magnifique travail sur "le temps"et"la mémoire",véritables sujets du film. Scènes d'amour sublimes! Un ravissement.
Commentaire de Monsieur HR |
« "le temps"et"la mémoire",véritables sujets du film. » Le présent apparaît comme le temps des dialogues (durs, heurtés) et du déclin, le passé comme celui des récits (magnifiés) d'amour et d'oisiveté, l'un donne la clé de l'autre . La mémoire, subjective, est activée par la version (lusitanienne?) des Surfs de « Be my baby », sorte de madeleine de Proust pop. Ici, c'est le passé qui succède au présent.
Commentaire de JF |
Film super lent et mou, je me suis ennuyé
Commentaire de Thierry T. |
Voici un film sur mes voisins. Sur les gens qui nous côtoient. Les petits drames, le petit quotidien de cette résidence, se mettent progressivement en place. Les individus semblent chercher leur place, comme les mots sur la musique, comme un carré musulman, juste un coin pour reposer en paix. Les paroles de ce rap urbain prennent toute leur signification, nous donnent toutes leur justesse. Ce film est-il un hommage au rap de banlieue ? Ou un hommage à une comédie humaine, de banlieue ? Quoi qu?il en soit, ce film est plaisant, bien construit, et certaines langueurs peuvent se voir comme des pauses, ou des silences.
Commentaire de CP |
Toujours une parfaite maîtrise pour ce troisième volet. Ce film est plus dense, plus pesant peut-être. Le réalisateur sonde l'âme humaine. Quels sont nos choix, quand on parle de survie, entre le respect de nos valeurs, notre intégrité, et toutes sortes de compromissions???
Cette trilogie est vraiment un très grand moment de cinéma. Bravo pour cette programmation.
Commentaire de Monsieur HR |
Le titre original était « Wohin und Zuruck », ce qui doit vouloir dire quelque chose comme aller et retour (à Vienne). Le retour de Freddy Wolf (devenu américain pour pouvoir revenir en Europe) à Vienne est encore plus désenchanté que son arrivée à New York. Un 4ème mouvement aurait pu logiquement consister en un nouveau départ, vers Tel-Aviv cette fois. Pas sur que cela eut été moins désespéré. Il y a des blessures qui ne se referment jamais, Welcome in Vienna est une trilogie mais aussi une tragédie, celle de tous les exils.
Commentaire de A.P.L |
un seul regret:que le générique soit muet sur l origine de la musique!
Qui pourrait me renseigner?Merci
Commentaire de Monsieur HR |
Selon IMDB: Original Music by
Hans Georg Koch Born:
January 12, 1941 in Krefeld, Germany
Died:
September 9, 2005 (age 64) in Athens, Greece
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Commentaire de Nicolas M. |
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