I ricordi del fiume

Les Souvenirs du fleuve - I ricordi del fiume

de Gianluca, Massimiliano De Serio

Genre : Documentaire

Nationalité : Italie

Année de sortie : 2015

Durée : 01h36

Version : Couleur

Public : Tout public

En décembre 2014, sur les bords de la rivière Stura à Turin, un ambitieux projet d’urbanisation prévoit le démantèlement du Platz, un des plus grands bidonvilles d’Europe. Plus d’un millier de personnes de diverses nationalités y survivent dans d'effroyables conditions. Tandis que certaines familles vont pouvoir être relogées, les autres vont devoir retourner dans leur pays ou trouver un autre logement de fortune. À travers une immersion dans les lieux, Gianluca et Massimiliano De Serio nous font vivre les derniers jours du Platz, entre déchirement, drames, espoirs et vie.

Dans le cadre des JOURNÉES DU FILM ITALIEN 2017

En partenariat avec Sans Canal Fixe

 

 

EMIGRANTI

de Paolo Piavoli (1963, 11’)

Des émigrants de Calabre arrivent avec leurs maigres bagages en gare de Milan. A cause de la langue, ils sont étrangers dans leur propre pays.

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 1 Mars 2017 au Mardi 7 Mars 2017

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    La projection du court métrage Emigranti juste avant celle des Souvenirs du fleuve réalisé une cinquantaine d’années plus tard était plutôt une bonne idée.
    Sans aucun commentaire , le premier nous donne de magnifiques images en noir et blanc de migrants italiens en partance vers le Nord et des espoirs de travail.
    Sans plus de commentaires, mais avec des dialogues pris sur le vif, le second nous plonge dans la vie d’un bidonville occupé par des roms aux alentours de Turin.
    Mais ce que le premier film nous montre, ce sont des migrants en marche, même si ils paraissent harassés par leur long voyage. Et l’on sait que pour la plupart d’entre eux, leur migration a été la possibilité d’une vie nouvelle, peut être même heureuse dans le cadre de l’industrialisation de l’Europe.
    Les autres, au contraire, apparaissent comme pris dans une nasse. Et pour les jeunes qui ont fini par trouver un habitat plus confortable, c’est l’ennui et le désœuvrement qui semble être leur destin. Même Turin ne leur offre aucune perspective d’avenir, l’industrie a disparu.

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