La Nina de Fuego

La Nina de Fuego - Magical Girl

de Carlos Vermut

Avec
Luis Bermejo
Lucía Pollán
Bárbara Lennie
José Sacristán
Javier Botet

Genre : Thriller

Nationalité : Espagne

Année de sortie : 2015

Durée : 02h07

Version : Couleur

Public : Tout public

Bárbara est une belle femme vénéneuse et psychologiquement instable. Son magnétisme, que son mari tente de contenir en l'enfermant chez eux, attire les hommes : Damiàn, son ancien voisin, qui n'ose sortir de prison de peur de la revoir, Luis, père célibataire au bord du gouffre,  qui ne réalise pas qu’en voulant la faire chanter, il joue dangereusement avec le feu… Faisant appel au symbolique, à l'irrationnel et à l'intuition, La Nina del fuego est l'un des films les plus surprenants, originaux et perturbants venus d’Espagne. « 

C'est une tragi-comédie où le spectateur commence par rire, avant de sentir son visage pétrifié dans un rictus qui confirme qu'on assiste là aux débuts d'une carrière qui promet d'être aussi brillante qu'atypique » pour laquelle on évoque Tarantino, Kaurismaki, Haneke…

 

 Sources : cineuropa.com

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 12 Août 2015 au Mardi 18 Août 2015
  • Semaine du Mercredi 19 Août 2015 au Mardi 25 Août 2015

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de Hervé RIGAULT |

    Il semble bien que le film de Carlos Vermut ait pour principal effet celui de provoquer la recherche de références cinéphiliques. A ce petit jeu, je participerai en évoquant le Carlos Saura de « Cria cuervos » pour une gamine dansant devant son miroir en écoutant un tube du moment, mais aussi le Luis Bunuel de « Belle de jour » pour un cérémonial fastueux en introduction de jeux sado maso.
    Mais même si la réalité sociale d'aujourd'hui est bien présente, avec ses profs au chômage, la valeur de la littérature qui s'estime au kilo ou bien des messages (compromettants) qui ne s'écrivent plus sur papier mais sur portables, je ne trouve pas dans « La Nina », la puissance subversive palpable chez ces anciens cinéastes.
    Ici, nous avons un thriller assez impeccable, mais surtout très (trop?) cérébral et sophistiqué. Où est donc le feu suggéré dans le titre ? Vermut pourrait répondre comme ses personnages : « je ne l'ai pas ».

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