Big Eyes

Big Eyes

de Tim Burton

Avec
Amy Adams
Christoph Waltz
Krysten Ritter
Danny Huston
Jason Schwartzman

Genre :

Nationalité : U.S.A

Année de sortie : 2015

Durée : 01h46

Version : Couleur

Public : Tout public

Walter Keane est devenu célèbre dans les années 1950-1960 pour ses tableaux d’enfants et d’animaux aux yeux démesurés, vendus bon marché dans toute l’Amérique et considérés aujourd’hui comme les premières œuvres d’art de masse. C’est en fait sa femme, Margaret, qui était la véritable artiste, comme elle finit par le faire savoir lors d’un procès retentissant…

Maître du fantastique, excellent conteur et graphiste d’exception, Tim Burton a notamment signé la mise en scène de Batman 1 et 2 (1989, 1991), Edward aux mains d’argent (1990), Ed Wood (1994), Sleepy Hollow (1999), Charlie et la Chocolaterie (2005), Sweeney Todd (2007), Dark Shadows (2012). Ici, pas de vampire, d’extra-terrestres, ou d’araignées. Pourtant, avec la jolie palette de couleurs semblable à celle de Big Fish, il a, à nouveau, enthousiasmé son public.

Sources : dossiers de presse

 

Bande annonce

Les séances : Vous pouvez Acheter vos places en ligne

Ce film a été programmé aux cinémas Studio

  • Semaine du Mercredi 18 Mars 2015 au Mardi 24 Mars 2015
  • Semaine du Mercredi 25 Mars 2015 au Mardi 31 Mars 2015
  • Semaine du Mercredi 1 Avril 2015 au Mardi 7 Avril 2015
  • Semaine du Mercredi 8 Avril 2015 au Mardi 14 Avril 2015
  • Semaine du Mercredi 15 Avril 2015 au Mardi 21 Avril 2015

Définition des pictos :


  • Séance 3D
  • Ciné Relax
  • Version française
  • V.O + Sous-titrage (FR)
  • Sans Paroles
  • Audio description

Votre avis

    Commentaire de CP |

    Tirée d'une histoire réelle, assez passionnante, Tim Burton nous livre un biopic ( la vie de Margaret Keane) classique, conventionnel et efficace.
    La prestation d'Amy Adams, tout en nuances et subtilités est formidable. Face à elle, Christoph Waltz multiplie, à mon goût, la caricature de l'imposteur et est du coup un peu trop cabotin.
    En plus de l'histoire de cette imposture, il y a le constat édifiant du statut de la femme dans les années 50-60, mais aussi une satire du monde de l'art de l'époque ( l'art réduit au marketing, impuissance de la critique...).

    Commentaire de Diane Indart |

    Visuellement c'est bien du Tim Burton : couleurs saturées, réfléchis, précis, cadre résidentiel urbain ne laissant présager que des vies lisses empreinte d'ennuie et de quotidien plus ou moins banal.
    Il n'en est rien. J'ai dû faire un effort pour me rappeler que j'étais bien en train de visionner un Burton, la première partie du film me donnant l'impression d'être devant un film de Woody Allen. L'intrigue psychologique, les personnages tirraillés, le trouble. Puis, ces peintures grotesques, trop présente à l'écran, hideuses, gênantes. On vient voir du "beau", le film se gorge de ces croutes laides. Histoire de plagiat artistique, intrigue pertinente. Mais déjà vue et revue par d'autres cinéastes tout aussi excellents. "Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu" de W. Allen met lui aussi en scène un artiste raté et un plagiat. Et d'autres... Mais, bon moment, car c'est quand même du Burton.

    Commentaire de Didi |

    Visuellement c'est bien du Tim Burton : couleurs saturées, réfléchis, précis, cadre résidentiel urbain ne laissant présager que des vies lisses empreinte d'ennuie et de quotidien plus ou moins banal.
    Il n'en est rien. J'ai dû faire un effort pour me rappeler que j'étais bien en train de visionner un Burton, la première partie du film me donnant l'impression d'être devant un film de Woody Allen. L'intrigue psychologique, les personnages tirraillés, le trouble. Puis, ces peintures grotesques, trop présente à l'écran, hideuses, gênantes. On vient voir du "beau", le film se gorge de ces croutes laides. Histoire de plagiat artistique, intrigue pertinente. Mais déjà vue et revue par d'autres cinéastes tout aussi excellents. "Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu" de W. Allen met lui aussi en scène un artiste raté et un plagiat. Et d'autres... Mais, bon moment, car c'est quand même du Burton.

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